Waffle Factory va exporter son concept au Moyen-Orient !

Dans le cadre de l'ouverture prochaine de points de vente à Dubai et Doha, Guillaume Desobry a rencontré notre attaché économique et commercial Pierre Annoye afin de recevoir des conseils concernant le fonctionnement local et le développement à venir. L'occasion de revenir sur son parcours d'exportateur...

Waffle Factory, c'est avant tout un concept particulier. Leur première singularité est de développer leur enseigne à travers un réseau de franchise. "Il s’agit d’un système très répandu dans le monde, mais finalement assez peu pratiqué par des enseignes belges cherchant à se développer, surtout quand on parle de restauration", nous explique Guillaume Desobry, Directeur du Développement, avant de nous détailler l'activité de son entreprise. "Notre produit est assez innovant: nous partons en effet de la gaufre belge classique, mais nous y avons ajouté une version « repas salé » pour compléter notre offre. C’est ce qui fait maintenant la spécificité de notre concept et qui le rend unique. Tous nos produits sont préparés journellement dans chacun des points de vente, dans un pétrin et sur base de notre mix maison. Ce qui fait le potentiel à l’exportation est justement ce mix maison, produit quotidiennement en Wallonie, qui garantit la fraîcheur et la qualité constante de nos recettes."

Cette enseigne est effectivement également en train d'écrire une jolie histoire d'exportation, de plus en plus internationale: elle est déjà présente en France (où elle possède 20 points de vente et où elle participe régulièrement au Salon de la Franchise), au Brésil, en Afrique du Sud, en Australie, au Japon ou encore en Arabie Saoudite: autant de marchés couverts par l'AWEX. Elle envisage à présent de se développer aux Émirats Arabes Unis et au Qatar, raison pour laquelle notre interlocuteur souhaitait rencontrer notre AEC dans le cadre des Business Days. "L'objectif de nos contacts avec les attachés économiques et commerciaux est de nous permettre de comprendre le marché du pays visé afin de valider le potentiel et la méthode de développement. Nos rapports ont pour but de nous aiguiller dans nos explorations ou de nous soutenir dans d'éventuelles démarches administratives ou de networking", précise-t-il. Afin de pouvoir s'adapter à ces marchés, Waffle Factory a effectué un travail pour adapter les offres aux goûts locaux avec des produits halal, plus prononcés en termes d'épices, mais aussi pour monter en gamme en matière d'esthétique au niveau des points de vente.

L'AWEX reste présent pour les soutenir dans cette nouvelle aventure qui devrait les transporter au cœur du centre commercial du site emblématique The Pearl (ce fameux archipel d'îles artificielles près de Doha) et leur souhaite toute la réussite possible ! Qu'attendez-vous pour leur emboîter le pas?

Mathieu Cavillot

Onze entreprises wallonnes à l'assaut du Texas

L’Awex organise en ce mois d’octobre 2015 sa septième mission technologique au Texas, plus précisément à l’Université de Texas A&M, à College Station, près de Houston. Une mission que Philippe Lachapelle, initiateur et responsable de ce dossier à l’Awex, estimait servir de test, afin de voir si l’engouement des premières années était toujours bien présent. Il peut être rassuré.

Cette année, onze entreprises ont répondu présent : Tempora (Bastogne, entreprise culturelle : exposition From Texas to Bastogne) ; AMB Ecosteryl (Mons, déchets hospitaliers) ; Amos (Liège, optique et instruments spatiaux) ; Taktik (Braine l’Alleud, numérique et télécommunications) ; Gillam-Fei (Liège, conception et fabrication d’équipements électronique sur mesure) ; Lisam (Ecaussines, ICT) ; Revatis (Marche, thérapie cellulaire pour les chevaux) ; Wisetree (Marche, venture capital thérapie cellulaire) ; Preesale (Liège, Application ICT), Fytofend (Namur, bio-pesticide) ; et Techspace Aero (Liège, division valves pour le spatial). Deux d’entre elles, Wisetree et Preesale, sont incubées chez Leansquare.

Eric Haubruge, Premier vice-Recteur de l’Université de Liège, accompagne également la mission afin d’opérer le rapprochement des pôles santé et espace de Liège. Et Maxime Van Cauter, l’Attaché de Liaison scientifique (ALS) de Boston, rejoint la délégation à College Station.

Cette mission est également l’occasion d’agrandir le réseau Owin, dont Philippe Lachapelle est un des fondateurs. Pour rappel, sa Cellule Partenariats Technologiques de l’Awex a pour ambition de mettre sur pied un réseau global d’innovation au bénéfice des sociétés wallonnes, ou Open Worldwide Innovation Network – Owin. Plus précisément, Amaëlle Haulet, la Directrice générale du réseau, explique que Owin est « une association d’universités, de gouvernements et d’agences pour le commerce extérieur qui a pour rôle de faciliter l’éclosion de start-up et la commercialisation des technologies au niveau mondial… ».

Créé en 2013, Owin compte à présent trois membres exécutifs : L’Awex, the Texas A&M University System et le chinois Coway, de l’Université de Tsinghua. Ce partenariat en fait un produit unique : c’est la première structure de ce genre à travailler sur les Etats-Unis, l’Europe et la Chine. En attendant l’arrivée prochaine de deux nouveaux partenaires : le comté de Madison/Université d’Alabama (fin de l’année) et d’un partenaire australien, du Queensland (2016). But essentiel : accélérer la croissance des sociétés qui dépendent des partenaires…

Déjà, des résultats !

Plus concrètement, cette mission aura notamment permis à La PME montoise AMB Ecosteryl, spécialisée dans la fabrication de machines de traitement des déchets  hospitaliers, d’envisager une arrivée sur le marché américain dès 2016. AMB Ecosteryl est la seule société au monde à utiliser une méthode basée sur le principe du micro-onde qui permet d’annihiler la dangerosité des déchets hospitaliers, qui peuvent même être valorisés, notamment dans le fours de cimenteries. Une alternative intéressante et écologique à la simple combustion…

Autre résultat tangible, la société Revatis, spin-off de l'université de Liège spécialisée dans la thérapie cellulaire pour chevaux, va s’installer au Texas avec le soutien de l'université Texas A&M. Revatis a mis au point et breveté une technique innovante et peu invasive pour extraire des cellules souches des chevaux. Ces cellules souches peuvent ensuite soit être stockées dans une « banque », soit être utilisées directement pour soigner des chevaux souffrant de blessures aux muscles, os ou tendons. Le Texas, avec le partenariat entre l’Awex et Texas A&M, mais aussi avec un nombre incroyable de chevaux sur son territoire, était la destination incontournable…

Enfin, un dernier exemple concret. L'université de Liège (ULg) va développer au Maroc avec Texas A&M un projet de plateforme de R&D dans le domaine de la fertilisation des sols et de la gestion de l'eau. « L'objectif est de proposer au Maroc de nouveaux types de culture  et de nouveaux développements en matière d'agriculture et de gestion  de l'eau », explique Eric Haubruge, Premier vice-Recteur de l’Alma Mater liégeoise. Prochains espaces de collaboration : le spatial et la santé.

Propos recueillis par Arnaud Collette

Une journée consacrée au Pérou à la HEPL

Le mercredi 28 octobre, on parlera du marché péruvien sur le Campus 2000: une occasion pour les entreprises wallonnes d'en savoir plus sur les opportunités en Amérique latine et de rencontrer leurs futurs stagiaires Explort potentiels.

Plusieurs axes seront abordés et sont susceptibles d'intéresser les entreprises qui pourraient se laisser séduire par ce marché. L'accueil aura lieu à partir de 16h15 au Campus 2000 (Rue du Gosson, n°1 - 4101 Jemeppe) et les conférences démarreront dès 17h. On pourra, bien entendu, déguster des produits latino-américains tout en appréciant les danses et musiques péruviennes mais on parlera aussi et surtout des aspects scientifiques et économiques de ce grand pays. Maxime Woitrin, spécialiste de l'Amérique latine à l'AWEX, détaillera les relations économiques qui existent entre la Wallonie et le Pérou, les opportunités pour les entreprises wallonnes et le soutien que l'AWEX peut fournir dans le cadre de la prospection de ce marché. Neil Madden, journaliste spécialisé dans la logistique des exportations présentera le commerce entre le Pérou et l'Union Européenne. Enfin, Luis Olivares Pflucker, Directeur du Bureau Commercial du Pérou en Belgique interviendra sur le thème "Pérou et Belgique: Partenaires commerciaux? Opportunités et défis".

La Haute École de la Province de Liège, qui organise cette journée thématique, forme des étudiants en commerce extérieur. Son rôle est, notamment, d'intensifier les échanges, l'ouverture au monde propre à la Wallonie et de susciter le goût de l'export chez leurs élèves. Les angles d'attaque sont multiples... cette journée du mercredi 28 octobre en est un exemple!

 

Pourquoi le Pérou?

"Pour éveiller l'attention des étudiants sur la grande exportation et ses débouchés, plutôt que de limiter la portée des regards à nos voisins directs!", nous confie Bernard Godeaux, Directeur de la catégorie économique. Après l'Indonésie l'an dernier, ce sera le Pérou, patrie de Jorge ARRESE, Consul honoraire à Liège. Ce dernier nous explique que son pays, ce n'est pas seulement le Machu Pichu et les lamas. "Le Pérou est en mutation et s'est ouvert sur l'international, pas seulement au niveau touristique mais également d'un point de vue culturel et... économique! Il s'agit de la 5e puissance économique d'Amérique Latine, notamment grâce à la sidérurgie: les péruviens sont les 2e producteurs de cuivre au monde". Jorge ARRESE nous raconte d'ailleurs que ce sont des wallons qui, les premiers, ont exploité la sidérurgie au Pérou.

Jorge Arrese, Consul honoraire du Pérou à Liège et Bernard Godeaux, Directeur de la catégorie économique à la HEPL

Cette journée ne peut que renforcer les liens entre les étudiants des deux pays et devrait donc permettre d'accélérer les relations économiques entre la Wallonie et ce pays ouvert, démocratique, en pleine modernisation et qui en a fini avec le terrorisme. Un plus indéniable pour la grande exportation wallonne!

 

Les études en commerce extérieur à la HEPL

Disposant de plus de 150 partenaires à travers le monde, l'école reçoit une centaine d'étudiants Erasmus chaque année, notamment attirés par le semestre donné en anglais et en immersion culturelle. Ils viennent tantôt d'Asie, tantôt d'Amérique. La Haute École accorde une importance toute particulière à la convivialité de l'accueil qui leur est réservé et veille à leur bonne intégration en organisant des visites, des rencontres, ou encore en les aidant à trouver un logement. Généralement, le semestre suivant, ce sont les élèves de Wallonie qui s'envolent pour l'étranger. Cette pratique permet d'accroître le niveau des relations internationales et les relations entre étudiants qui créent une saine émulation. 

Du côté pratique, les étudiants sont encouragés à exporter concrètement un produit, même en petite quantité, afin d'être confronté à la réalité du terrain et à ses divers aspects: transport, change, douane, normes. Pour ce faire, ils disposent d'étudiants partenaires dans un autre pays qui, eux, exportent un produit vers la Wallonie. Le but n'est pas d'engranger des bénéfices mais bien d'aborder l'exportation de manière pragmatique.

Le programme Explort de l'AWEX trouve également sa place dans le cadre de l'expérience pratique. Philippe Parmentier, responsable des relations internationales à la HEPL: "L'étudiant cherche alors une entreprise au sein de laquelle il pourra effectuer son stage avant de partir pour l'étranger. Sur place, son rôle sera d'étudier un marché, de détecter une niche potentielle pour un produit spécifique. Saviez-vous par exemple que, sur la côte Est des États-Unis, on ne distinguait pas seulement les "belgian waffels" des autres, mais on faisait également la différence entre gaufres de Liège et de Bruxelles?"

Aucun doute: de brillants Export Managers seront bientôt sur le marché pour aider les entreprises wallonnes à exporter toujours plus loin!

Propos recueillis par Mathieu Cavillot

Domaine du Ry d'Argent: du mousseux belge en Colombie

L'entreprise wallonne aurait détecté un véritable marché de niche dans les marchés d'Amérique centrale et compte bien l'exploiter.

Le Domaine du Ry d'Argent, c'est avant tout Jean-François Baele, un viticulteur de Bovesse. Son entreprise est un vignoble belge aux méthodes traditionnelles qui, selon lui, produit "des vins tranquilles". Le vin belge est rare mais n'a rien à envier aux grandes régions viticoles de monde ! Au contraire, il pourrait même s'exporter en grandes quantités.

L'AWEX a eu l'occasion d'appuyer les démarches de la société dans sa volonté d'internationalisation. L'agence l'a notamment aidée dans le cadre de son site Internet ou encore pour adapter les étiquettes de ses produits pour les marchés internationaux, par l'intermédiaire d'un spécialiste en design. Plus récemment, Monsieur Baele a pu participer à la mission qui avait lieu au Mexique et en Colombie, qu'il avait préparée avec un expert en stratégie et lors de laquelle il a pu déceler une belle opportunité: "On y trouve beaucoup de vins dans les 5-6 euros la bouteille qui sont simplement du vin gazéifié, avec ajout de CO2," expliquait le namurois à un journaliste de la RTBF. "Il y a aussi les grandes maisons de Champagne, avec des prix plutôt importants. Pour moi il y a la place pour un bon vin, dit "méthode traditionnelle champenoise" dans les 12-13 euros".

Pas question de laisser passer cette occasion ! Il s'est donc rapidement associé à deux français, un œnologue et un producteur, au sein de "BGP" afin de pouvoir répondre à la demande qui est bien présente. Chacun spécialisé dans un domaine, ils unissent leurs efforts et leurs compétences pour produire un vin belge de qualité destiné à l'exportation.

Nul doute que les retombées financières dues à la finalisation de ces contrats soient très importantes pour une entreprise comme celle de Jean-François Baele. L'exploitant du Domaine du Ry d'Argent souligne la qualité des services de l'AWEX: "Nous avons visité des salons comme ProWein, par exemple et participé à des séminaires. J'ai évidemment pris part à la mission Mexique-Colombie et j'envisage maintenant de faire appel à un étudiant en commerce international dans le cadre du programme Explort. Concrètement, cela m'a permis de découvrir et de mieux comprendre d'autres marchés mais surtout de voir où se trouvait le plus gros potentiel. Je peux passer chaque semaine dans mon centre régional, ils connaissent mon dossier et mes ambitions. Ils sont toujours présents pour répondre à mes questions qui peuvent aller dans tous les sens, ils détectent aussi des opportunités pour moi. J'ai également rencontré plusieurs attachés économiques et commerciaux qui me suivent et reviennent vers moi pour m'aider à me développer. Il y a un vrai rapport humain, un accompagnement. On se sent moins seul !"

Il va sans dire que l'AWEX félicite le Domaine du Ry d'Argent et continuera de l'accompagner en lui souhaitant de poursuivre sur cette belle lancée afin de rayonner de manière internationale, à l'instar d'autres produits wallons de qualité !

Propos recueillis par Mathieu Cavillot

C'est quoi les Business Days de l'AWEX?

Afin de répondre à cette question par l'exemple, voici quelques témoignages des différentes parties prenantes aux Business Days Émirats Arabes Unis / Arabie Saoudite qui ont eu lieu dernièrement à la Maison de l'Industrie, sur le zoning de l'aéropôle de Gosselies, au sein des locaux de l'antenne carolorégienne de l'AWEX.

"Il s'agit d'un moment de rencontre privilégié entre les entreprises wallonnes et notre réseau à l'étranger", explique Éric Declercq, Directeur du Centre Régional AWEX de Charleroi. "Les rendez-vous sont préparés, les questions des entreprises sont transmises à nos attachés économiques et commerciaux qui peuvent parfois apporter directement des réponses ou des contacts, selon les besoins. D'autres demandes nécessitent un travail de recherche supplémentaire sur place." 

Comme vous le savez peut-être, l'AWEX dispose d'un réseau d'une centaine d'attachés à travers le monde, tous spécialistes d'un marché en particulier. Chaque année, ils reviennent en Wallonie et font le tour des centres régionaux afin d'aller à la rencontre des entreprises qui souhaitent obtenir des informations pointues sur leur marché de prédilection. Le centre régional, point d'inscription et de contact pour les clients de l'AWEX, organise alors le carnet de rendez-vous de chacun d'entre eux à l'occasion de son passage dans ses bureaux.

"Bien sûr, nous sommes joignables toute l'année par courriel ou par téléphone mais rien ne vaut une vraie rencontre, en face-à-face. La preuve: notre agenda de rendez-vous est totalement rempli pour cette semaine!" précise Pierre Annoye, Attaché Économique et Commercial (AEC) en poste à Abu Dhabi (Émirats Arabes Unis). "Nous pouvons apporter un appui logistique et de réseautage aux entreprises, les informer sur le cadre légal en vigueur (en Arabie Saoudite, dans mon cas), leur trouver des clients, des fournisseurs ou des distributeurs, voire les aider en cas de conflit avec une entreprise locale, afin de régler le problème et d'éviter qu'il ne se reproduise à l'avenir" poursuit Denis Lahaye, délégué par l'AWEX à Riyadh.

Jean-François Clarinval, COO chez Bridgestone Aircraft Tire, faisait partie de ceux qui souhaitaient rencontrer nos spécialistes de ces marchés du Moyen-Orient: "Notre produit est assez unique en son genre: nous collectons les pneus d'avion du monde entier pour leur offrir une seconde vie par le biais du rechapage. Nous désirons positionner un ingénieur dans cette partie du monde et nous avions besoin de nous informer sur ce que cela impliquait d'un point de vue juridique. L'apport des attachés à ce niveau est essentiel afin de savoir où nous mettons les pieds, surtout dans des pays 'exotiques', qui ont des cultures et des réglementations différentes."

Endo Tools, représenté par son CEO, Alexandre Chau, propose des méthodes d'endoscopie révolutionnaires qui permettent d'éviter certaines chirurgies aux patients: il s'agit également d'une technologie unique en son genre et ils considèrent le monde comme leur terrain de jeu. "L'une de nos cibles est l'obésité qui touche une partie de la population de ces pays. Je voulais faire connaissance avec les attachés afin de leur parler de nos produits et qu'ils puissent laisser traîner leurs oreilles sur ces marchés en vue de pouvoir détecter et nous ramener toute opportunité d'affaires."

Antoine Menalda, Project Manager chez Dirty Monitor rencontrait des AEC pour la première fois. Sa société est active dans le mapping 3D et a notamment collaboré avec Franco Dragone, Luc Petit création ou encore Florence Foresti. "Nous ne connaissons pas encore toutes les aides de l'AWEX, je suis un nouveau client. Nous avons déjà pu bénéficier de l'enthousiasme d'un stagiaire Explort et nous avons rapidement compris que ce serait manquer une opportunité que de nous priver de faire connaître nos technologies à travers le monde par la voix des attachés de l'AWEX. D'autant plus que ces services sont entièrement gratuits!"

Propos recueillis par Mathieu Cavillot